La base des blocs d'angles
J'inaugure la rubrique Trucs et Astuces. L'idée est de proposer quelques manières de faire, qui ne sont pas forcément
originales, mais qui ne vont pas de soi pour le néophyte que je suis.
Le professionnel en sourira sûrement, mais j'espère que l'autoconstructeur y trouvera un intérêt.
Le Truc du jour concerne la base des blocs d'angles.
Ce qui est très bien aujourd'hui lorsque l'on construit en parpaings, c'est que l'on dispose de blocs d'angles qui permettent de couler des piliers aux angles, entre les ouvertures, ou tous les 5 mètres... Par rapport aux coffrages traditionnels, cela évite certaines contraintes de dilatations des matériaux et d'éventuelles fissures dûes à la différence de réaction du béton et du parpaing. Enfin, c'est ce que je pense avoir compris. Inconvénient : le pilier est limité au diamètre de la réserve et bien inférieure au volum offert par un coffrage 20x20.
Le petit truc du jour, c'est de ne pas démarrer le pilier avec un parpaing d'angle, mais de laisser l'espace vide, ce qui va permettre de curer le mortier en supplément qui a tendance à tomber au moment de poser les rangs supérieurs. Cela permettra au final, de couler un pilier qui parte réellement de la fondation.
Illustration en images
Le professionnel en sourira sûrement, mais j'espère que l'autoconstructeur y trouvera un intérêt.
Le Truc du jour concerne la base des blocs d'angles.
Ce qui est très bien aujourd'hui lorsque l'on construit en parpaings, c'est que l'on dispose de blocs d'angles qui permettent de couler des piliers aux angles, entre les ouvertures, ou tous les 5 mètres... Par rapport aux coffrages traditionnels, cela évite certaines contraintes de dilatations des matériaux et d'éventuelles fissures dûes à la différence de réaction du béton et du parpaing. Enfin, c'est ce que je pense avoir compris. Inconvénient : le pilier est limité au diamètre de la réserve et bien inférieure au volum offert par un coffrage 20x20.
Le petit truc du jour, c'est de ne pas démarrer le pilier avec un parpaing d'angle, mais de laisser l'espace vide, ce qui va permettre de curer le mortier en supplément qui a tendance à tomber au moment de poser les rangs supérieurs. Cela permettra au final, de couler un pilier qui parte réellement de la fondation.
Illustration en images
Le bloc creux avec sa ferraille |
La base du pilier avec les déchets de mortier, qui doit être curée avant de coffrer et de couler |