"Touché-coulé" ou la complainte d'un naufragé dans une cabine de douche
Une fois la douche posée et siliconnée, j'ai pu m'apercevoir d'une des lois de base de la nature : par définition, l'eau est très contrariante !
Ainsi donc, la douche en action, les joins de silicone posés après montage ne manquaient pas de laisser passer le précieux liquide à l'extérieur par endroit, surtout entre les assemblages d'aluminium.
Je convins donc, dans une résolution digne d'un contructeur de marine qui voit son navire couler à la première mise à l'eau, d'acheter moulte cartouches de silicone premier choix et de redémonter l'engin pour le remonter pièce par pièce, enduit, que dis je, inondé du précieux plastique.
Démontage, ok...
Remontage, hum, hum.
Ca se corse...
...profusion de silicone, énervement, mais bon, première étape franchie. Le fond de la cabine repose sur une cartouche et demie. Ca ne fuira plus, foi de charpentier !
J'entame avec l'aide de Fouzius la dépose d'un assemblage verre-alu qui constitue les panneaux fixes de la façade, quand SPLASH !!!!!!!! la vitre de près de 2 mètre me pète à la gueule sans s'annoncer !
Je passe les petites coupures très seillantes (ou bien saillantes) et la patience de Fouz pour ramasser les deux millions de morceaux généré pas l'explosion.
Ô rage, ô désespoir !
...une nuit passe....
Le lendemain, un vent d'espoir souffle sur le navire : on rafistole les voiles à la bâche plastique, la baignade quotidienne est sauvée.
Il ne reste plus qu'à commander la précieuse vitre qui au passage, vaut le tiers de l'ensemble. Et d'attendre.
Moralité : si j'avais su, je n'aurais jamais acheté ce type d'engin, j'aurais plus vite fait en traditionnel, c'est sûr !
Donc rien de sert de ramer, il faut être sur le bon bateau ! (Lafontaine marinisé !).
Ceci est mon testament sur les cabines de douches !
Ainsi donc, la douche en action, les joins de silicone posés après montage ne manquaient pas de laisser passer le précieux liquide à l'extérieur par endroit, surtout entre les assemblages d'aluminium.
Je convins donc, dans une résolution digne d'un contructeur de marine qui voit son navire couler à la première mise à l'eau, d'acheter moulte cartouches de silicone premier choix et de redémonter l'engin pour le remonter pièce par pièce, enduit, que dis je, inondé du précieux plastique.
Démontage, ok...
Remontage, hum, hum.
Ca se corse...
...profusion de silicone, énervement, mais bon, première étape franchie. Le fond de la cabine repose sur une cartouche et demie. Ca ne fuira plus, foi de charpentier !
J'entame avec l'aide de Fouzius la dépose d'un assemblage verre-alu qui constitue les panneaux fixes de la façade, quand SPLASH !!!!!!!! la vitre de près de 2 mètre me pète à la gueule sans s'annoncer !
Je passe les petites coupures très seillantes (ou bien saillantes) et la patience de Fouz pour ramasser les deux millions de morceaux généré pas l'explosion.
Ô rage, ô désespoir !
...une nuit passe....
Le lendemain, un vent d'espoir souffle sur le navire : on rafistole les voiles à la bâche plastique, la baignade quotidienne est sauvée.
Il ne reste plus qu'à commander la précieuse vitre qui au passage, vaut le tiers de l'ensemble. Et d'attendre.
Moralité : si j'avais su, je n'aurais jamais acheté ce type d'engin, j'aurais plus vite fait en traditionnel, c'est sûr !
Donc rien de sert de ramer, il faut être sur le bon bateau ! (Lafontaine marinisé !).
Ceci est mon testament sur les cabines de douches !