Autoconstructeur à vie...
Aujourd'hui, lendemain de 1er avril, le moins que je puisse dire, c'est que ma blague a suscité une réaction générale. J'ai même été appelé au téléphone. Pas tant, je crois, parceque j'avais gagné la fin de la construction mais surtout parceque je quittais le navire, que la traversée s'arrêtait net, bref, que je mettais fin à l'aventure et donc à l'histoire.
C'est comme ça que je l'analyse et même si je prends un peu des baffes de notre ami Breton, je me réjouis de vos réactions amicales et affectueuses. A propos des baffes, je ferai juste remarquer que je n'ai pas de prétention de faire mieux ou plus que les autres, ensuite, que je ne suis pas un pro et que j'ai un boulot à temps plein pour vivre. Ca recadre un peu les limites de mes prétentions.
Enfin, non, le chantier n'est pas fini...et si je suis à la veille de terminer la partie maçonnerie, ce n'est pas pour flancher maintenant.
Mais ce qui fait le succès du gag, c'est qu'il y a un fond de vérité : j'aimerais bien vivre sans chantier, au moins un temps pour voir comment ça fait... Cela va faire un an et demi que l'aventure a commencé, et c'est quand même une charge, même quand je ne bosse pas, l'esprit travaille : je l'ai construite dans ma tête des centaines de fois cette maison. Je me rends compte que c'est plus facile de faire, que de prendre son mal en patience en attendant le week-end ou les congés.
Aussi, pour prendre la mesure des choses, il se peut qu'après avoir couvert, je prenne une longue pose pour reconstituer les forces et remettre l'équipe dans le sens de la marche.
Donc après Pâques, je pendrai un congé sabatique du chantier, on verra bien après !
D'ici là, il y a encore un toit à faire, une étape importante pour se mettre à l'abri.
En tous cas, merci d'avoir fait frétiller mon poisson d'avril, c'était vraiement sympa et la preuve qu'une petite communauté d'esprit s'est fondée entre nous !
Une composition personnelle qui vient du carnaval
C'est comme ça que je l'analyse et même si je prends un peu des baffes de notre ami Breton, je me réjouis de vos réactions amicales et affectueuses. A propos des baffes, je ferai juste remarquer que je n'ai pas de prétention de faire mieux ou plus que les autres, ensuite, que je ne suis pas un pro et que j'ai un boulot à temps plein pour vivre. Ca recadre un peu les limites de mes prétentions.
Enfin, non, le chantier n'est pas fini...et si je suis à la veille de terminer la partie maçonnerie, ce n'est pas pour flancher maintenant.
Mais ce qui fait le succès du gag, c'est qu'il y a un fond de vérité : j'aimerais bien vivre sans chantier, au moins un temps pour voir comment ça fait... Cela va faire un an et demi que l'aventure a commencé, et c'est quand même une charge, même quand je ne bosse pas, l'esprit travaille : je l'ai construite dans ma tête des centaines de fois cette maison. Je me rends compte que c'est plus facile de faire, que de prendre son mal en patience en attendant le week-end ou les congés.
Aussi, pour prendre la mesure des choses, il se peut qu'après avoir couvert, je prenne une longue pose pour reconstituer les forces et remettre l'équipe dans le sens de la marche.
Donc après Pâques, je pendrai un congé sabatique du chantier, on verra bien après !
D'ici là, il y a encore un toit à faire, une étape importante pour se mettre à l'abri.
En tous cas, merci d'avoir fait frétiller mon poisson d'avril, c'était vraiement sympa et la preuve qu'une petite communauté d'esprit s'est fondée entre nous !
