La putain d'équipe ! (fin des enduits en ITE)
Ce sont les opérations où le renfort est vital, même si à chaque étape, être aidé est toujours bienvenu et salvateur...
L'opération d'hier était pour moi d'un enjeu terrible : réussir l'enduit de finition sur les deux grandes façades...
J'ai donc fait appel à deux poids lourds du bâtiment en la personne de Kam dit "Frotttman" et Tonton, serviteur du "Légendaire" car il s'agissait d'avoir à la fois la force de frappe et le renfort technique pour cet opération de finition délicate, compte tenu des produits mis en oeuvre (STOLIT K1).
Papito, dit "el Pintor que canta", en soutien technique a réalisé un travail logistique permanent pour nous fournir les munitions nécessaires...
Je me demande encore en quoi je pouvais m'inquiéter vu le potentiel humain !
Le démarrage à faible hauteur a été l'occasion pour chacun de s'essayer et quand c'est parti, il ne faut pas s'arrêter et hop de fil en aiguille....ça a scratché sec à tous les étages !!!
J'en reviens encore à peine aujourd'hui ! WE DID IT ! Dans les temps et avec la manière, enduit, gresage, démontage et remontage de l'échaffaudage compris, cette étape qui hantait mes nuits a été réalisée en une journée, repas et sieste compris !
Nous avons conquis les faces nord et est en une petite journée !
Reconstitution en cours de la force de travail
zzzz !!!!..........
Démontage après la face nord avant d'attaquer la face est !
Question technique, rien de neuf depuis les faces sud et ouest..., seulement la necessité impérieuse quand on travaille sur trois étages de se décaler horizontalement pour que ceux qui sont en dessous n'en prennent pas plein la tête...
Il y a quand même eu pas mal de dégats colatéraux, j'en connais qui doivent encore essayer d'enlever les traces de crépi aujourd'hui...
D'où aussi la necessité d'avancer à vitesse égale, de se raccorder avant séchage du produit....à la fin de la journée, on était au top !
Temps idéal, équipe compétente, efficace et motivée...finalement, c'était trop facile ! Un doliprane et hop au dodo (non sans avoir au préalable ramené Théus et la Bombe dans leur plateau
varois...)
C'est seulement aujourd'hui que j'ai l'impression d'être passé au broyeur ! Mais quand on est content... on est content !